Reseau Un Moment Voulu

formation CIPAC : COMMENT CONSTRUIRE UN PARTENARIAT AVEC L’EDUCATION NATIONALE ?

COMMENT CONSTRUIRE UN PARTENARIAT AVEC L'EDUCATION
NATIONALE ?

Objectifs pédagogiques
Il s'agira d'aborder ce qu'est le partenaire culturel au sein de
l'Education Nationale (historique et actualité, enjeux et
réalités), d'en connaître les textes de référence et le contexte
comme la nouvelle autonomie des établissements, d'envisager les
nouvelles orientations des programmes, en particulier
l'introduction de l'histoire des arts.

Contenu
1er jour : (Claire Legrand) Qu'est-ce que le partenariat culturel ?
Le rôle du partenaire culturel au sein de l'Education Nationale et
sa relation aux enseignements : bref rappel historique, les textes
récents.
Méthodologie : connaître l'organisation et le fonctionnement de
l'Education Nationale. Les acteurs et leurs prérogatives, les
dispositifs.
Claire Legrand, directrice adjointe Frac Bourgogne, responsable du
service des publics

2ème jour : (Christelle Alin et Isabelle Milliès) Etude de cas : les
projets arts contemporain en partenariat avec la Villa Arson,
Centre d'art contemporain.
- Le projet « culture à portée de la main »
- Les conventions avec les établissements
- La logique de territoire

3ème jour :
Méthologie : contenus des actions et conception d'outils
L'évaluation des actions.

Bilan de la formation.


Cette formation s'adresse aux responsables pédagogiques et
médiateurs chargés d'accompagner le public scolaire dans des
expositions d'art contemporain.

Formatrices
Claire Legrand, responsable du service des publics au Frac
Bourgogne
Christelle Alin, Responsable du service des publics Villa Arson
Centre d'art contemporain
Isabelle Milliès, conseillère pour l'éducation culturelle et
artistique Académie de Nice

Lieu
Paris, mercredi 25, jeudi 26 et vendredi 27 mars 2009
Horaires
9h30–12h30 puis 14h-17h30 (sous réserve de modifications par le
formateur)

Durée
3 jours

Nombre d'heures de formation
6h30 / jour soit 19h30

05/03/2009
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LES PRATIQUES DE L'EVALUATION APPLIQUEES AU SECTEUR DE L'ART CONTEMPORAIN

Programme du Séminaire

Ce séminaire est organisé en partenariat avec "Un Moment Voulu"Association nationale des personnes en charge des relations des publics à l'art contemporain et "AICA France", Association internationale des critiques d'art, section française

LES PRATIQUES DE L'EVALUATION APPLIQUEES
AU SECTEUR DE L'ART CONTEMPORAIN
Ière partie - Etat des lieux

Lundi 23 février 2009 de 9h45 à 17h30
au Centre Culturel Suisse

MATIN
09h45 - 10h15 : accueil

10h15 - 10h30 : introduction journée, Emmanuel Latreille, Président du Cipac, Christelle Alin, Présidente d'Un Moment Voulu

10h30 - 11h00 : historique de la pensée de l’évaluation, Florent Lahache, Philosophe

11h00 - 11h30 : évolution des critères d'évaluation en entreprise,Christian Mayeur, Directeur d’Entrepart

11h30 - 12h00 : la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), objectifs et indicateurs, Nelly Fesseau, chef de la mission contrôle de gestion ministérielle, Ministère de la Culture et de la Communication


APRES MIDI
14h00 - 14h30 : la critique d’art comme mode d’évaluation, Christophe Domino, Critique d'art

14h30 - 15h00 : les missions de l'agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (AERES), l'évaluation de l'enseignement supérieur artistique, Corinne Le Neün, déléguée scientifique culture, AERES

15h00 - 15h30 : l'évaluation de la fréquentation en questions,Christelle Alin et Claire Legrand, Présidente et Vice-Présidente, Un Moment Voulu

15h30 - 16h00 : Raphaële Jeune, Commissaire des Ateliers de Rennes et Directrice fondatrice d'Art to be

16h00 - 17h00 : débats, échanges


Entrée libre sur inscription et dans la limite des places disponibles

Centre Culturel Suisse
L'entrée se fait par le passage des Arbalétriers pour rejoindre le
38 rue des Francs Bourgeois
75003 Paris

Métro : Saint Paul ou Rambuteau / bus 29

Cette journée sera suivie d'un deuxième rendez-vous
LES PRATIQUES DE L'EVALUATION APPLIQUEES AU SECTEUR DE L'ART CONTEMPORAIN, IIème partie - Perspective - automne 2009, Lyon

05/03/2009
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La méconnaissance du travail des intermédiaires nuit à l'art contemporain

LE MONDE | 05.01.09 | 13h37
par Nathalie Heinich

Il ne se passe pas de semaine sans que nous lisions des articles indignés, des courriels, des manifestes, des protestations contre l'état présent de l'art contemporain : l'art actuel ne fait pas - et de moins en moins - consensus. De ce fait, les artistes se trouvent coupés d'un large public, tandis que maints amateurs d'art se privent du contact avec les créations majeures de l'art contemporain. Il est temps de réfléchir à de possibles remèdes.
La sociologie a mis en évidence l'émergence d'un "système marchands-critiques" dans la France de la seconde moitié du XIXe siècle, caractéristique de l'art moderne tel qu'il s'était constitué alors contre l'art classique et son système néo-académique. C'étaient là les prémices de ce qui est devenu une tendance lourde de l'art contemporain dans la seconde moitié du XXe siècle : l'importance des intermédiaires de l'art (en particulier issus du secteur public), qui croît avec son autonomisation.
En effet, plus l'art obéit à des logiques intéressant prioritairement les artistes et les spécialistes, plus il tend à se couper des amateurs et du grand public : d'où la nécessité d'une chaîne de médiations entre la production de l'œuvre et sa réception. Contre l'illusion d'une relation immédiate entre œuvres et spectateurs, la sociologie de l'art a commencé à étudier cet entre-deux, en même temps que l'art contemporain en explorait les possibilités, à la suite de Duchamp et de ses ready-mades.
Toutefois les institutions de l'art ont pris du retard dans ce processus : elles continuent à fonctionner sur le mode de l'immédiateté, restant en grande partie invisibles quant à leurs modalités d'action et manquant de reconnaissance quant à leur rôle.
Conservateurs de musée, directeurs de centre d'art, commissaires d'exposition (pour le secteur public), ainsi que critiques d'art, galeristes et experts en salles des ventes (pour le secteur privé) sont certes bien connus à l'intérieur du milieu. Mais leur travail est presque ignoré par les simples amateurs. Et cette ignorance même demeure invisible à ces intermédiaires, trop exposés aux regards de leurs pairs - notamment par la transformation progressive des "curateurs" en véritables "auteurs" d'expositions - pour s'apercevoir qu'ils ne sont visibles que par eux.
Ce manque de visibilité des rouages contribue au discrédit dont pâtit l'art contemporain au-delà de son propre monde. Il est fauteur à la fois d'incompréhension sur le plan artistique et de déficit démocratique sur le plan politique, dès lors du moins que ces médiations relèvent d'institutions publiques - quant aux acteurs privés, leurs goûts peuvent être critiqués mais non remis en question, puisqu'ils n'engagent qu'eux-mêmes.
La conclusion s'impose : il faut pallier ce manque de visibilité des médiations en exposant l'action des intermédiaires de l'art, au-delà des limites de ce monde. C'est la seule façon, premièrement, de leur rendre justice et, deuxièmement, de les inciter à rendre des comptes au public. Comme le savent bien les artistes, toute "exposition" permet à la fois d'exister publiquement, et d'autoriser les critiques. L'un ne va pas sans l'autre.
Voici donc quelques idées d'"expositions" permettant au public d'avoir prise sur le travail des intermédiaires, en les incitant à rendre des comptes. Tout d'abord, il faudrait donner aux décisions plus de publicité : pourquoi les grands musées, les FRAC, le Fonds national d'art contemporain (FNAC), la Délégation aux arts plastiques (DAP) n'organisent-ils pas des conférences de presse annuelles présentant leurs acquisitions ou commandes publiques et explicitant les raisons de leurs choix ?
Pourquoi les commissions habilitées à faire ces choix au nom de la puissance publique ne diffuseraient-elles pas sur Internet les procès-verbaux de leurs séances ? Pourquoi enfin n'organiserait-on pas, comme cela se fait aux Etats-Unis, des débats publics en cas de controverses sur des commandes, des achats, des subventions, des expositions ?
Par ailleurs, il serait bon d'encourager nos institutions culturelles au pluralisme : élaborer un guide des bonnes pratiques en matière de recrutement des commissions d'achat et de subventions, de façon à assurer le maximum de pluralité des sensibilités et des genres ; ouvrir les achats et subventions à tous les courants de l'art actuel, et pas seulement aux installations, performances, vidéos et photographies plasticienne ; et inviter systématiquement un expert étranger à participer aux principales commissions. Mais il serait bon aussi de rendre justice au travail des intermédiaires de l'art, en le montrant, en l'aidant, en le récompensant. L'on pourrait par exemple instaurer des prix annuels pour la galerie la plus dynamique, la meilleure exposition, le meilleur catalogue, le meilleur livre, le meilleur éditeur, avec cérémonie publique aussi largement médiatisée que possible.
Les centres d'art pourraient organiser des opérations annuelles du type portes ouvertes, proposant des discussions avec les équipes et l'exposé par chacun de qui fait quoi (sélection, transport, accrochage, rédaction, médiation...). L'association CulturesFrance (ex-AFAA) pourrait créer une chaire annuelle sabbatique pour voyages de formation des spécialistes d'art à l'étranger, du type "Villa Médicis hors les murs", avec conférence publique à l'issue de la mission où l'intéressé en exposerait les acquis. Enfin, il ne serait sans doute pas inutile que le ministère de la culture commande des enquêtes sociologiques sur les problèmes de formation, de recrutement, de statut économique et social, de reconnaissance des intermédiaires, qui sont encore très mal connus.
Ce ne sont là que quelques pistes, limitées certes mais concrètes, immédiatement praticables, et conformes à l'esprit de transparence des décisions publiques propre à une vraie démocratie.


05/03/2009
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offre d'emploi Mayenne

Offre d'emploi urgente >>>


Coordonnateur de l'école d'arts plastiques,
Dans le cadre d'un Emploi Tremplin.

- Poste à pourvoir en janvier 2008

- Contrat Emploi Tremplin en CDI 35 heures lissées (jours travaillés : du mardi au samedi, modulables).

- CCN des Entreprises Artistiques et Culturelles. Plus d'infos sur  "http://www.sndtv.org"
> Rémunération : Technicien Agent de Maîtrise 3, Echelon 1.

Candidature, lettre de motivation et CV, dès que possible à :
    Association Le Kiosque
    Centre d'action culturelle du Pays de Mayenne.
    7 place Juhel – BP 433
    53104 – Mayenne CEDEX
   kiosque@kiosque-mayenne.org
Plus d'informations sur Le Kiosque : www.kiosque-mayenne.org

Annonce complète ici au format PDF

11/12/2007
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ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

La prochaine assemblée générale de l'association Un Moment Voulu aura lieu


À PARIS (lieu communiqué ultérieurement)


LE SAMEDI 26 JANVIER 2008 DE 10H À 13H

les membres du CA qui auront été élus se réuniront l’après-midi


27/11/2007
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